Séverine Gonzalez, photographe indépendante - cvrin prod

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Agent artistique et photographe (surtout concerts et backstage en plus de la nature), je voyage beaucoup dans les pays du Nord. Principalement en Suède, un pays que j’adore et où je vais en toute saison.

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Mon objectif Sigma préféré, pendant longtemps, a été le fameux Bigma 50-500mm (deuxième version de la bête). Il était vissé en permanence sur mon Canon 7DMKII pendant mes voyages suédois! Et lorsque l’évolution est (enfin!) sortie en 2023, j’ai pu la tester plusieurs semaines sur mon Panasonic Lumix DC-S1 grâce à un prêt de Sigma Romandie. Bingo, cette version est incroyable, je la veux. J’ai revendu du matos et j’ai pu me l’offrir avant de repartir en Suède à la fin de l’été.

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 "Une fois qu’on l’a bien pris en main, on oublie son poids" 

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Pour moi, c’est une évidence: lorsque je me promène en nature j’ai envie de faire plein de choses différentes. Un oiseau se pose sur un piquet à un mètre de moi? Je remercie le 60mm de pouvoir l’immortaliser. Un renne passe entre deux arbres au loin? Aucun souci, d’un simple tour de main je peux cadrer et me rapprocher de l’animal sans le déranger. Il est tellement polyvalent que je peux aussi m’amuser en proxi, en isolant une fleur ou un papillon de son environnement. Le fond sera crémeux, doux, comme Sigma nous a habitué avec ses autres produits. En bateau la stabilisation fonctionne super bien, doublée à celle de mon boîtier c’est vraiment top de pouvoir filmer en plus de photographier.

 

Une fois qu’on l’a bien pris en main, on oublie son poids. Car oui, cela «se mérite» d’avoir une réactivité pareille! Et parfois ça se ressent dans certaines situations. Comme lorsqu’il se met à pleuvoir au milieu de nulle part et que je sens mon sac à dos bien rempli pour le retour. Mais c’est vraiment le seul point négatif que je lui trouve et depuis le temps je m’y suis faite.

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